La pire façon de se traiter un véhicule motorisé est de ne pas l’utiliser. Faire chauffer le moteur de temps en temps c’est bien, mais il faut nuancer car il est possible de faire pire que bien.
Si le véhicule est destiné à être stocké à court terme, un ou deux mois seulement, il est envisageable de le laisser tranquille jusqu’à son réveil, en vérifiant toutefois de temps à autres qu’aucune perte de fluide n’a lieu. Le moyen et long terme, à partir de trois mois autrement dit, requiert une attention particulière, à savoir qu’un petit réveil une fois par mois pour se dégourdir les bielles est le bienvenu.
Attention par contre à ne pas simplement faire chauffer le moteur sur place. Il est primordial que tous les fluides atteignent leur température de fonctionnement (moteur/boite/pont), mais que les systèmes d’embrayage, de suspension et de freinage soient également sollicités. Ceci évite aux éléments en caoutchouc (silent-blocs, coupelles, joints spi, pneus…) de se figer, réduisant les chances d’avoir des dégâts en début de saison.
Durant les mois d’hiver, on choisira de sortir son bolide durant une journée ensoleillée et sur route sèche, pour éviter toute contamination par de l’humidité ou du sel routier. Une promenade d’une demi-heure à une heure suffit. Cette liste de conseils est non-exhaustive, bien qu’elle regroupe les points essentiels d’un hivernage réalisé convenablement.
Chez GDC, nous sommes à même de vous procurer un accompagnement pour le stockage de votre véhicule sous forme d’un contrôle et entretien pré-stockage, d’une surveillance minutieuse durant la période d’arrêt, ainsi que d’un service de remise en route une fois les beaux jours revenus.
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